Zoom sur le bois dans les Jeux de Paris
solive gorger d'eau et de seve

solive gorger d'eau et de seve

il y a 13 ans

je suis en train de tailler mes solive et je vient de m'apercevoir que certaine solive sont encor verte que faire qu'elle rique y a t'il de crée le solivage . le bois va t'il va t'il travailler beaucoup .
va t'il salonger ou ce retracter .

merci a tous pour vos reponse

4 réponses

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1. solive gorger d'eau et de seve il y a 13 ans

Le bois de solivage ne doit pas dépasser 14-15% maximum.
Le bois va se déformer beaucoup plus rapidement, il va transmettre son humidité au plancher et risque de se mettre en hélice d'avion.

2. solive gorger d'eau et de seve il y a 13 ans

ok mes comment mesuret le taux d'humiditer
que me coseiller vous?? atendre pour metre en place mes dalle osb???????

3. solive gorger d'eau et de seve il y a 13 ans

bonjour tout les amies du matin

COMBIEN DE TEMP POUR QUE LES SOLIVE RATRAPE LE MEME NIVEAU D'HUMIDITER QUE LA MAISON ??

4. solive gorger d'eau et de seve il y a 13 ans

bonsoir,

Tout dépend de leur H% actuel, donc du detla humidité qu'il faut pour arrivé à 15%, de la température ambiante, de la ventilation.... voir les liens en fin de pages: voir autre avec différents mots de recherches(sechage naturel du bois

- Le séchage est indispensable à la mise en œuvre du bois -

Le séchage naturel ou artificiel est nécessaire pour une bonne utilisation du bois, qu’il soit destiné au chauffage, à la charpente, à la menuiserie ou à l’ébénisterie. C’est un atout majeur pour la commercialisation des produits : cette prestation garantit en effet à l’utilisateur final la possibilité de mettre immédiatement en œuvre le bois qu’il achète en limitant les risques de mauvaises surprises.

Le bois est un matériau vivant, en ce sens qu’il peut aussi bien perdre de l’eau qu’en reprendre. Le bois d’un arbre sur pied contient 300 à 600 litres d’eau par mètre cube. Cela représente un taux d’humidité de 80 à 100 % par rapport à la masse sèche pour le chêne ou le châtaignier et de 100 à 200 % pour le peuplier.

Un sciage sec à l’air peut lui contenir 30 % d’humidité. Mis en œuvre dans un environnement très sec, il va encore perdre de l’eau, et donc se rétracter. On imagine facilement les conséquences, par exemple sur la stabilité d’un meuble. En effet, lorsque l’eau quitte les cellules, celles-ci se rétrécissent. On observe alors une diminution progressive de la largeur et de l’épaisseur du sciage : c’est ce que l’on appelle le retrait. L’impact sur la longueur d’une pièce est par contre négligeable. Ainsi, le séchage d’une planche de chêne ou de frêne entraîne une réduction de 15 à 20 % de son volume initial, 11 à 13 % pour du châtaignier ou du noyer. Cette notion est donc particulièrement importante pour définir la section de sciage en fonction des dimensions recherchées après séchage. A l’inverse, un bois dont le taux d’humidité a été ramené à 15 % et placé dans un contexte humide, va reprendre de l’eau et gonfler. C’est cette particularité qui permettait à nos ancêtres de fendre de gros blocs de rocher avec de simples coins de bois, en l’absence d’outils métalliques.

Pour sécher du bois, il faut contraindre l’eau qu’il contient à se rapprocher de la surface pour être ensuite évaporée. La vitesse et les conditions dans lesquelles se déroulent ces phénomènes, requièrent une certaine maîtrise. Lorsque le procédé de séchage est mal contrôlé, en particulier lorsqu’il est trop brutal, cela provoque un déséquilibre dans l’organisation des cellules du bois, et entraîne des déformations telles que le tuilage, le cintrage ou le voilement.

Le séchage à l’air libre est encore pratiqué. Il est certes plus long, mais induit peu de déformations dans la mesure où il est très progressif. Il ne nécessite pas de gros investissements, mais plutôt beaucoup de place. Son principal inconvénient est qu’il ne permet pas d’abaisser le taux d’humidité du bois en dessous de 15 %. Son coût élevé est lié à la durée d’immobilisation du stock.

De nombreuses utilisations nécessitent un bois à moins de 14 % d’humidité. Le séchage artificiel est alors indispensable. Ainsi, pour un emploi en parqueterie, le taux d’humidité doit être abaissé entre 9 et 12 %, alors qu’un taux de 17 à 23 % est suffisant pour du bois de charpente.

Le bois est placé dans ce que l’on appelle des cellules de séchage pouvant contenir jusqu’à 300m3. Trois principaux procédés existent : à air chaud climatisé, par déshumidification de l’air, et sous vide. On peut alors obtenir des produits dont le taux d’humidité approche les 8 %. Selon les essences et les dimensions des sciages, le coût moyen du séchage artificiel se situe entre 30 et 60 € HT/m3. Mais le temps de séchage est alors 7 à 15 fois plus court !

http://www.crpf-poitou-charentes.fr/Le-sechage-est-indispensable-a-la.html



L'eau contenue dans le bois, s'évapore à la surface de celui-ci dans l'air ambiant. L'eau circule donc de l'intérieur vers l'extérieur du bois. Les bois durs sèchent plus lentement et plus difficilement que les bois tendres. Le renouvellement de l'air et la chaleur favorise et accèlére l'évaporation. Un séchage trop rapide peut provoquer des gerçures, tandis qu'un séchage trop lent provoque des échauffements, voire des pourritures.

- La ventilation : Un courant d'air chaud dont le taux d'humidité est décroissant, traverse les pièces dans le séchoire, absorbe la sève et établit l'équilibre du taux d'humidité. Après 8 à 10 semaines le bois est sec.
Attention au défauts et accidents de séchage des bois :

-Fentes en bout sur plateaux larges dues au séchage rapide à l'air.
-Gerces en surface et interne des bois à rayons larges (hêtre, chêne,...) dues au gel.
-Cémentation due à l'évaporation trop intense en surface arrêtant la poursuite de séchage.
-Collapses dus à l'écrasement ponctuel des parois cellulaires
-Déformations diverses.

Pour en savoir plus pour bien exposé vos bois pour un bon séchage, voir la page:

http://www.crea-menuiserie.com/cours/sechage.php

http://www.crea-menuiserie.com/cours/empilage.php


l'espèce : les bois durs sèchent lentement par rapport aux bois tendres et aux bois résineux.
l'épaisseur
le mode de débit : le débit sur dosse donne des bois séchant plus vite que les bois débités sur quartier.
la saison de l'empilage. Il est important, pour la durée et la qualité du séchage d'empiler les bois durs avant l'hiver et les bois tendres au début de l'été.
La dimension des piles : lorsqu'on dépasse une largeur de 2 mètres on ralentit sensiblement le séchage.
l'espace vide sous la pile. Nous avons dit qu'il convenait de laisser sous les piles an espace de: 40 ou 50 centimètres. Si toutes ces conditions sont observées, le séchage naturel s'avère beaucoup moins long qu'on pensait autrefois. Or, peut estimer que des bois durs de 27 à 30 mm d'épaisseur empilés à l'automne sont secs au printemps suivant et que des bois durs de 50 mm sont secs à l'automne suivant. S'il s'agir de bois tendres (peuplier) ou résineux, il suffira d'un été et d'un début d'automne : 3 à 5 mois suivant l'épaisseur.

Mais il convient de rappeler qu'il ne peut s'agir que d'un séchage à l'air c'est à dire à 15 à 20 % de taux d'humidité.

http://passion.bois.free.fr/le%20materiau%20bois/sechage%20des%20bois/sechage%20du%20bois%20.htm

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